Notre Master
Folco chevalier
Directeur Associé Nealite
Matière enseignée : Conception de projet Web
Folco Chevallier, possède plus de 15 années d‘expérience en développement de projets internet. Il participe dès 1995 au lancement du fournisseur d‘accès internet Infonie (Groupe Infogrames). Il intègre en 1997 le groupe Vivendi, où il lance la librairie en ligne BOL. Il crée et dirige en 1999 le site e-commerce d’achats groupés LeSpot.com, spécialisé dans la vente de produits high-tech. Il a depuis occupé le poste de Directeur chez Fullsix, agence leader en marketing interactif, ainsi que la Direction Marketing et Ventes de ChateauOnline. Folco Chevallier est diplômé de l’ESCP (Promo 91)
Liens (réseaux sociaux, sites persos, réf biblio ?, mail) :
http://www.linkedin.com/in/folcochevallier
http://fr.viadeo.com/fr/profile/folco.chevallier
http://twitter.com/folcochevallier
[email protected]
Présentation de la méthodologie de conception de projets et interfaces web, élaborée par les industriels du web (Google, Ebay, Amazon) et adoptée par l’agence Nealite auprès de l’ensemble de ses clients.
Interview
Alban Martin : « Je propose une analyse critique des succès viraux sur la toile »
Alban Martin, Directeur des médias sociaux au marketing groupe d’Orange assure les cours sur le marketing viral et conduit les projets pédagogiques des élèves. Cette année il s’agissait de prévoir un plan de communication globale afin d’accroître la notoriété du master. Entretien pour faire plus ample connaissance.
Alban Martin d'Orange nous a permis de comprendre le marketing viral, de dicerner les difficultés du buzz...
Quel est votre parcours professionnel ?
Après des emplois dans le secteur du conseil en stratégie et dans la banque d’affaires, j’ai décidé de me tourner vers l’innovation en rejoignant une start’up puis le groupe Orange. Entré en 2004 chez Orange j’étais en charge du marketing sur la zone Afrique et Moyen-Orient. En 2006, j’ai rejoint les équipes de recherche et de développement pour inventer de nouveaux services communautaires. Depuis 2008 j’occupe le poste de Directeur des medias sociaux au marketing groupe (pour la France et l’international).
En quoi consiste votre travail actuellement ?
A définir les grandes orientations stratégiques d’Orange dans les médias sociaux : une présence efficace sur Facebook, Twitter et Dailymotion ; mais aussi un business développement ingénieux via de jeunes start-up innovantes pouvant contribuer à notre activité ; et enfin la supervision des synergies au travers de notre portefeuille d’actifs existants: Dailymotion, Cityvox, Skyblog, Deezer notamment.
Quel cours dispensez-vous ?
En master CTN, j’enseigne le cours « Communauté en Ligne et bouche à oreille ». Ce cours repose sur une analyse historique du bouche à oreille. Je pars de la période précédant l’apparition d’Internet et des medias sociaux, afin de souligner l’apport de ce canal dans le domaine du bouche à oreille, devenu au passage le marketing viral.
Votre cours s’intitule « Communauté en Ligne et bouche à oreille », de quoi parle-t-il ?
Ce cours repose sur une analyse historique du bouche à oreille. Je pars de la période précédant l’apparition d’Internet et des médias sociaux, afin de souligner l’apport de ce canal dans le domaine du bouche à oreille, devenu au passage le marketing viral. Je propose aux élèves de prendre du recul et d’analyser de manière critique les phénomènes présentés comme des succès viraux sur la toile. Le but : que les étudiants soient mieux armés face à l’imaginaire et l’engouement actuel existant autour du « buzz ». Le cours permet également de se former aux techniques comme les « relations blogger », le « community management », ou encore les dispositifs dit « viraux ». Cet enseignement suscite des vocations très concrètes et offre des débouchés nombreux.
Vous êtes à l’origine de l’étude de cas de cette année qui portait que la communication en externe des points forts de la formation, qu’apporte ce travail ?
Il a pour objectif pédagogique d’aller plus loin que les études traditionnelles de cas avec le coté frustrant de s’arrêter aux slides et de ne pas maîtriser tous les aspects du sujet (les entreprises ont parfois des contraintes peu évidentes à saisir) le travail en équipe est le B.A.ba des projets pédagogiques afin de mieux préparer une insertion pro. Les critères d’évaluation permettent de saisir les attentes : rigueur, créativité, synthèse etc., autant de qualités attendues en entreprise.
Les bars où sortir
L’O FLAHERTY’S
Pub irlandais au cœur de Nîmes, qui propose des plats irlandais et des boissons à prix raisonnables. Bonne ambiance, des concerts live fréquents, une salle de billard, des fléchettes, wifi gratuit… Un lieu à ne pas manquer, notamment lors d’événements sportifs ou de soirées spéciales ! (Et les barmaids sont sympas !)
Adresse : 21 boulevard de l’Amiral Courbet, 30 000 Nîmes
L’INSTANT T
Un bar sympa qui mêle salon de thé, tarterie et bar à vins en-un ! Dans une atmosphère assez décalée, le bar propose un espace alternatif où la récup’, le commerce équitable et le 100% bio dominent. Un espace terrasse à l’étage, des live fréquents ou retransmissions de clips vidéo rétro-projetés font de ce lieu un endroit cool pour sortir le soir !
Adresse : 2 rue Racine, 30 000 Nîmes
LA MACARENA
Un cadre chic qui mêle new design et éléments de décor rustiques. La Macarena propose des tapas, une sélection de bons vins, de la sangria (sauf hors saison), un patio intérieur pour les fumeurs et une piste de danse pour faire la fête ! A ne pas manquer : le cours de salsa gratuit du jeudi soir !
Adresse : 12 rue Delon Soubeyran
LE 9
Une grande porte légèrement entrouverte qui mène sur une jolie cour théâtrale entourée d’arbustes, on ne s’y attend pas et pourtant c’est bien là que se cache le 9 ! Un restaurant-bar à l’atmosphère chic et cosy ouvert jusque 3H du matin. Des canapés, un piano et une piste de danse où s’enchaînent des tubes mythiques sont là pour enivrer tout le monde jusqu’au bout de la night ! Le 9 est un des bars les plus sympas et vivant pour les fêtards nîmois.
Adresse : 9 rue Etoile, 30 000 Nîmes
LE PROLE
Au début de l’année scolaire, profitez du temps estival pour aller prendre un verre sur la terrasse ombragée du prolé (au fond du bar) ! En hiver, vous pouvez toujours profiter de la terrasse (si vous êtes fumeurs, mais aussi parce qu’on est dans le sud et que l’hiver peut être clément). Concerts toute l’année en extérieur ou en intérieur et une bonne ambiance festive dans une atmosphère conviviale ! Et des tarifs de consos très abordables.
Adresse : 20 rue Jean Reboul, 30 000 Nîmes
LE FOX
Bar taverne près de La Maison Carrée qui propose une salle de billard et propose une ambiance assez festive. Le bar est fréquemment plein les week-ends mais sachez qu’ils n’y servent aucun cocktail !
Adresse : 18 rue de l’horloge, Nîmes
Le phare de l’Espiguette
Situé à l’extrémité ouest de la Camargue, la pointe de l’Espiguette est un vaste massif dunaire, qui mesure plusieurs centaines de mètres de large.
Le site classé de l’Espiguette abrite des formations littorales uniques sur l’ensemble de la côte méditerranéenne française. Sur près de 10 km de long et 2 km de large, s’étend une succession de dunes.
En partant vers l’est, vous pouvez marcher pendant des heures sur la plage.
L’été, des milliers de personnes se pressent sur la partie plage proche du phare de l’Espiguette.
Un monument à découvrir absolument : le pont du Gard
Le Pont du Gard est l’un des vestiges romains le mieux conservé au monde. L’aqueduc du Pont du Gard est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1985.
Un endroit interdit aux véhicules. Vous pouvez vous promener autour, le long des berges du Gard .
Infos Pratiques
Adresse : 30210 Vers-Pont-du-Gard
Accès : A 27km au nord-est de Nîmes, 28km à l’ouest d’Avignon.
Bus : depuis Nîmes, Arles et Alès par les bus Edgard
Tarifs
Mémoires de garrigue, gratuit, 1h30.
Parking payant, 5€/jour.
Site officiel du Pont du gard
Article catégorie l’école
La petite Camargue
Les Marais de Camargue
Malgré les exploitations salines et les élevages de taureaux, la nature est restée sauvage. Vous pouvez circuler sur les digues, entre les marais. Dans les manades, les taureaux sont élevés par des gardians, en semi liberté.
Un site d’informations sur la Camargue, avec beaucoup de liens. Aigues-Mortes est un bon point de départ pour des excursions, cette ancienne ville fortifiée est entourée de lagunes et de marais salants aux tonalités roses, et reliée à la mer par le canal du Grau du Roi.
Des Saintes Maries de la mer, vous pouvez aller à pied jusqu’à Beauduc, par les digues, puis revenir par la plage. Une impression d’être au bout du monde, lorsque l’on revient par la plage, longue de plusieurs kilomètre et complètement sauvage.
Cette plage, une des plus ensoleillée de France, est un spot de kite surfeurs. Un « village » sauvage de cabanons, transformées en maisons au fil du temps, est habitée à l’année par des locaux vivants souvent en marge du monde.
Les marais du Vigueirat
Un lieu où nichent les oiseaux. Des pontonts et des abris vous permettent d’observer les oiseaux sans les effrayer.
Informations pratiques
Ouvert du 15 janvier au 30 novembre
de 10h à 17h d’octobre à fin mars et de 9h30 à 17h30 d’avril à fin septembre
tél. 00 33 (0)4 90 98 70 91 – fax 00 33 (0)4 90 98 72 54
e-mail : [email protected]
site web : www.marais-vigueirat.reserves-naturelles.org
Depuis Nîmes/Arles par l’autoroute A 54 : prendre la voie rapide direction Fos-sur-Mer, puis à 20 km d’Arles bifurquer à droite direction Mas-Thibert.
À partir de Mas-Thibert, le circuit est fléché. Une piste de 2 km vous introduit dans l’antichambre des marais. Parking, accueil, boutique et sentiers de découverte libres d’accès vous attendent.
Les gorges du Gardon
Site géologique et historique majeur du Sud de la France, le massif des gorges du Gardon est naturellement membre du réseau des Grands sites de France qui réunit les zones candidates au label «Grand site de France». Un label que le Pont du Gard a été l’un des premiers à obtenir, en 2004.
Des falaises allant jusqu’à 150m de haut bordent le Gardon, qui a creusé ces gorges.
Le débit est souvent de 15m3, mais il peut atteindre 5000m3 lors des périodes de crues.
Valérie Patrin-Leclère : la méthodologie pour le mémoire
Titre : Maître de conférences au Celsa, responsable du département Médias et communication, chercheur au GRIPIC
Valérie Patrin Leclère, la femme qui donne de l'énergie aux étudiants
Matière enseignée : méthodologie de la recherche en sciences de l’information et de la communication
Parcours : Elève de l’école Normale Supérieure de Fontenay-saint-Cloud, Docteur en sciences de l’information et de la communication
Dernières publications :
- « Le média, un collectif fragilisé par le rapport des journalistes à la publicité », article publié en ligne : http://gisjournalisme.wordpress.com/colloque-2011
- Coordination du dossier « La communication revisitée par la conversation », Communication & langages n°169, 2011
Annie Liothin : les bases du HTML pour les nuls
Titre : Responsable du Master 2 professionnel Communication et Technologie Numérique
Annie Liothin, le chef d'orchestre de l'EMA
Matière enseignée : Langages de balisage, HTML, XML, XHTML, HTML5
« Après un parcours d’ingénieur en informatique au sein de plusieurs laboratoires de recherche grenoblois, en particulier à l’IMAG, où je travaille sur la conception et la sécurité des systèmes, je rejoins une start-up spécialisée dans le développement de logiciels de simulation pour France Télécom R&D, devenu Orange Labs. En 1990, j’intègre l’école d’ingénieurs EERIE à Nîmes en tant qu’ingénieur système et réseau. Intéressée par l’enseignement, je deviens responsable de l’option informatique de l’Ecole des mines d’Alès, puis responsable du Master auteur rédacteur multimédia en cohabilitation avec l’Université Paul Valéry Montpellier III. En 2008, la Direction de l’Ecole des mines d’Alès me confie la création et la responsabilité du master communication et technologie numérique en cohabilitation avec le CELSA (Paris-Sorbonne). »
Mail: [email protected]
Régis Hugues, consultant spécialisé dans la communication en entreprise
« Ma pédagogie se veut très interactive, au vrai sens du terme, convoquant chez l’étudiant sa capacité d’étonnement et de remise en cause pratique. Mon obsession étant toujours de faire correspondre le concept et l’action », Régis Hugues, professeur de sociologie de la communication au Celsa.
Notre professeur de sociologie de la communication. Sourires garantis.
Cours : Sociologie de la communication
Au-delà des références théoriques historiques qui traversent l’évolution des courants d’idées dans le domaine de la communication, le cours propose de mettre au jour les balisages intellectuels et techniques qui permettent à l’étudiant de parfaire sa capacité d’analyse et de critique du champs de la communication au regard de ses dimensions médiatique, politique et organisationnelle. Les échanges et les cas de figure pratiques nourrissent un questionnement et aiguisent les aptitudes à la démonstration, à l’explication et à la projection dans des situations réelles de communication. Équilibrée entre plusieurs disciplines influentes, le marketing, la philosophie politique, la psychologie et la sémiologie, le cours tente aussi de formaliser quelques bonnes pratiques de nature à donner à l’étudiant une compétence stratégique en le confrontant notamment à l’exigence de la recommandation opérationnelle et se traduction en plan d’actions.
« Professionnel de la communication d’entreprise, fort d’une expérience généraliste, avec une dominante publique et para publique, je rends également disponible mon cursus académique, polyvalent, entre communication opérationnelle et recherche appliquée. Mon parcours débuté au ministère de la défense, s’est prolongé dans le secteur de la protection sociale, puis au sein du groupe EDF, du milieu consulaire et enfin du secteur très concurrentiel des business schools. J’ai aussi une courte expérience de l’entreprise privée. Docteur des sciences de l’information et de la communication du celsa, ma formation initiale est commerciale. »
mail : Ré[email protected] ou [email protected]
Sylvie Ranwez : les ontologies pour une recherche d’information réussie
« Par des approches de l’information complémentaires entre sciences sociales et informatique, initier les métiers de demain », Sylvie Ranwez, professeur d’ontologies
Son dada : l'ontologie. Des mots, du sens et des informations sur la recherche sur le Net.
Titre : Chargée de recherche
Matière enseignée : Ontologies pour une recherche d’information efficace
« En 1997, après avoir obtenu un diplôme d’ingénieur en informatique (EERIE) et un DEA en informatique (université Montpellier II) j’ai commencé une thèse sous la direction de Michel Crampes, au LGI2P de l’école des mines d’Alès, concernant le composition automatique de documents personnalisés (soutenue le 21 décembre 2000). Rapidement il est apparu que pour composer des documents il fallait rechercher l’information pertinente pour un utilisateur dans un contexte donné. Les ontologies sont un support privilégié pour effectuer ces recherches de manière pertinente et efficace. Depuis lors, mes recherches s’axent autour des ontologies et des traitement qui peuvent leur être appliqués dans ce contexte. Je m’intéresse également à la visualisation des résultats en particulier via des cartes de connaissances interactives. »
Publications :
- « An O(n.m) algorithm for calculating the closure of lca-type operators », Vincent Ranwez, Stefan Janaqi, Sylvie Ranwez. In Ars Combinatoria, (to be published in vol 104, April 2012).
- « User Centered and Ontology Based Information Retrieval System for Life Sciences », Mohameth-François Sy, Sylvie Ranwez, Jacky Montmain, Armelle Regnault, Michel Crampes, Vincent Ranwez. In BMC Bioinformatics, (to be published).
- « Sub-Ontology Extraction Using Hyponym and Hypernym Closure on is-a Directed Acyclic Graphs« , Vincent Ranwez, Sylvie Ranwez, Stefan Janaqi. In IEEE Transactions on Knowledge and Data Engineering, IEEE computer Society Digital Library, 20 Jul. 2011.
- « Visualizing Social Photos on a Hasse Diagram for Eliciting Relations and Indexing New Photos », Michel Crampes, Jeremy de Oliveira-Kumar, Sylvie Ranwez, Jean Villerd. In IEEE Transactions on Visualization and Computer Graphics, Special Issue on IEEE Visualization Conference and IEEE Information Visualization Conference Proceedings 2009, Edited by Kwan-Liu Ma, Torsten Möller, Hanspeter Pfister, Sheelagh Carpendale, Jean-Daniel Fekete, Volume 15, Issue 6, ISSN: 1077-2626, pp. 985-992, November/December 2009.
Pour en savoir plus sur Sylvie Ranwez : http://www.lgi2p.mines-ales.fr/~ranwezs/
Rémi Genon-Catalot : le référencement
Rémi Genon-Catalot, consultant, nous a appris le B.A.ba du référencement naturel et payant
« La présence de formateur extérieur permet de donner une vision professionnel aux étudiants et de les préparer au monde de l’entreprise », Rémi Genon-Catalot
Matière : Visibilité Internet – Les leviers.
Métier : Consultant SEO et chargé de projets techniques pour le groupe Yellohvillage
Parcours :
- 2007-2011 : Chargé de référencement (SEO-SEM) pour le groupe Easy Voyage
- 2007 : Chef de projet référencement (SEO-SEM) – Consultant SEO Isobar
- 2006-2007 : Master 2 Auteur Rédacteur Multimédia à l’écoles des Mines d’Alès – site de Nimes. Développement de la relation entre l’informatique et la communication.
- 2005-2006 : Master 1 ingénierie de l’Internet à Caen. Réalisation de sites Internet valides selon les normes du W3C. Utilisation de PHP et MySql. Site valide xhtml et css 2, et redimensionnable.
Pour en savoir plus : http://www.remigc.com/
Assaël Adary : Mesurer l’impact des médias
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- Assaël Adary, co-président d’Occurence
Titre : Co-président de Occurence, cabinet d’études et de conseil en communication
Cours : Outils et méthodes des SHS appliquées aux études
Parcours : Après des études de philosophie, Assaël Adary intègre le Celsa, où il rencontre son futur associé. Occurrence, fondée en 1995, est spécialisée dans l’évaluation des actions de communication. Occurrence compte aujourd’hui 25 collaborateurs. Par ailleurs, Assaël ADARY est Vice Président de l’association professionnelle Communication & Entreprise (ex Ujjef) en charge de la veille et de l’expertise.
Publications :
- Evaluez vos actions de com, Assaël Adary, Dunod, 2012
- Toute la fonction Communication, Assaël Adary, Thierry Libaert et Aude Riom, Collection: Toute la fonction, Dunod, 2010
- Checklists pour s’organiser,Assaël Adary, Jean-Christophe Finidori et Benoît Volatier, Collection Les p’tits lus, 2010
- Évaluez vos actions de communication – Mesurer pour gagner en efficacité, Assaël Adary, Benoît Volatier, Collection: Hors collection, Dunod 2008
Bertrand Horel : Sémiologie
« Le CTN est aujourd’hui l’un des meilleurs Master 2 pro pour comprendre et se former aux transformations médiatiques et aux stratégies de communication dans les médias informatisés”, Bertrand Horel
Bertrand Horel nous a appris à saisir les sens cachés des images
Titre : Directeur d’études chez Think-Out, Co-fondateur et Trésorier du Social Media Club France
Cours : sémiotique de l’image et des sites internet
Parcours : Ancien Ingénieur de recherche chez France Telecom R&D dans le cadre d’un doctorat en Sciences de l’Information et de la Communication, ancien chef de produit chez Dailymotion, Enseignant-chercheur au CELSA depuis 2006 et Co-fondateur du Social Media Club France.
Publications :
“ Mobile Multi-media messages (MMS) : Show-don’t-tell in a communication context”, Communication & Strategies n°59, 2005
» Le MMS: circulez, autrement rien à voir!« , Médiamorphoses, n°16, Armand Collin-INA, Paris, 2006
» Les images des caméraphones : de la mémoire vive à la mémoire vide ? », Image et Mémoire. Actes du 3e colloque international Icône-Image, juillet 2006, Musée de Sens.
« Ecrire, photographier, envoyer : comment comprendre la pratique du message multimédia mobile sur caméraphone (MMS) ? », Communication et sphère privée, L’Harmattan, 2010
Mail :
Jean Bentkowski : Audio numérique et Flash
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- Jean Bentkowski nous a appris le montage sonore et à réaliser des animations en Flash
Métier : Concepteur multimédia
Matières enseignées : Audio numérique et Flash
« Diplômé en Information Communication, j’ai parallèlement développé des connaissances en graphisme, animation web et sonorisation.Ces compétences m’ont poussé vers le e-learning, notamment chez Novartis Pharma où j’ai pu participer au développement d’une plateforme LMS d’envergure internationale. J’ai par la suite créé une activité de freelance grâce à laquelle j’ai pu travailler en graphisme, animation, création web, sonorisation et voix off autour du e-learning principalement. »
Site perso : jeanbentkowski.free.fr
Viadeo : fr.viadeo.com/fr/profile/jean.bentkowski
Mail :
Pierre Jean : développement Web
« Les élèves du Master CTN sont évalués par le Celsa sur leur mémoire de recherche. L’EMA les évalue sur la conduite et la réalisation d’un projet de site web. Ce double objectif façonne d’excellents professionnels de la communication numérique », Pierre Jean.
Titre: Ingénieur de Recherche
Matière enseignée: Développement Web
Parcours : « Après avoir travailler pour une SSII à Paris et pour la Communauté Européenne, j’ai souhaité rencontrer plus de diversité dans mon travail et j’ai rejoins un centre de recherche en informatique, LGI2P. Les missions que je réalise au sein de cette structure : du développement web sur des projets industriels contractualisés ; du support techniques sur les postes utilisateurs et les serveurs du centre de recherche et l’enseignement des technologies que j’utilise auprès des élèves de l’École des Mines ainsi que dans les masters spécialisés cohabilités par l’École. »
mail:
twitter : pierrejean_ema
Marc Dumas : un peu de théâtre pour se décoincer les neurones
« Améliorer ses performances relationnelles en apprenant à contrôler les effets induits par le trac et le stress »
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- Du théâtre, des prises de paroles : de quoi repousser ses limites personnelles
Titre : Manager Formateur Consultant
Matière enseignée : Media training
Parcours : « Je suis psychologue et dispose d’une formation d’acteur.
Je suis formateur depuis 1986. J’ai été travailleur indépendant durant 10 ans, puis créateur d’une société de formation « Alorée 7″ basée à Toulouse pendant 9 neufs anset depuis 2005 je suis gérant et formateur de MD. Performances. »
Publication : Marc Dumas et Henri Loustau sont co-auteurs d’un ouvrage intitulé : « En Jeux ou Les modes du fonctionnement relationnel dans le théâtre de nos activités professionnelles » – Mars 2005, édition..
Mail:
Site web: www.md-performances.fr
Viadeo : http://www.viadeo.com/fr/profile/marc.dumas1988
Michel Crampes : le Web sémantique
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- Michel Crampes : Le Web sémantique à portée de mains
« Explorer le contenu d’internet comme un réservoir de connaissances en réseau avec des techniques de pointe », Michel Crampes, professeur d’ingénierie de la connaissance.
Titre : Enseignant chercheur Ecole des Mines d’Ales, Ingénieur Centrale Lille, Docteur et Habilité à Diriger des Recherches, Université Montpellier II
Matière enseignée : Web Sémantique, ingénierie de la connaissance
Parcours en quelques lignes : Monsieur Michel Crampes est diplomé Ingénieur de l’Ecole Centrale Lille. Il a travaillé plus de dix ans dans le privé sur les grands systèmes informatiques temps réels (par exemple le contrôle de trafic aérien). Il a mis en place une formation de chefs de projet informatiques et conçu un simulateur de conduite de projet qui ont conduit à la création d’une société Suisse, l’un des leaders mondiaux dans le domaine. Entré à l’Ecole des Mines d’Ales en 1991, il met en place des systèmes d’enseignement à distance. Il enseigne le multimédia et l’ingénierie de la connaissance sur le Web. Ses recherches actuelles portent sur l’ingénierie de la connaissance, le Web et les réseaux sociaux.
Publication : http://www.mines-ales.fr/~mcrampes/Publications_Crampes.html
Etienne Candel : Approches culturelles des technologies numériques
Etienne Candel, en vrai
« Un master qui forme des étudiants très impliqués, actifs et efficaces dans une ambiance toujours excellente, concentrée et enthousiaste. De quoi ne jamais regretter de faire le trajet jusqu’à Nîmes », Etienne Candel, Maître de conférence à PAris IV.
Titre : Maître de conférences en Sciences de l’information et de la communication au Celsa (Paris-Sorbonne) et chercheur au GRIPIC (groupe de recherches interdisciplinaires sur les processus d’information et de communication)
Matière enseignée : Approches culturelles des technologies numériques.
« Après une formation en Lettres (ENS, Sorbonne) et en Administration d’Etat (Sciences Po), je me suis orienté en thèse vers les Sciences de l’information et de la communication, où je me suis spécialisé dans l’analyse socio-sémiotique des médias informatisés. Je travaille principalement sur des objets bizarres, minuscules (le bouton « like », les champs de saisie de formulaires, les nuages de tags…), et sur des objets immenses, idéologiques (la participation, le Web social…), sachant que ces deux types d’objet sont fortement liés, et qu’on peut lire les idéaux et les idéologies de la communication dans les petits objets dont elle se dote. Je me consacre actuellement à des travaux sur la réalité augmentée, sur la relation entre sémiotique, ergonomie et design, sur les formes d’écriture en ligne. J’encadre le Master 2 Médias informatisés et stratégies de communication (MISC) du Celsa ».
Référence bibliographique : « L’imaginaire du « portail »: le cas de rezo.net » à lire sur Persée (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/colan_0336-1500_2005_num_146_1_3374)
Mon Twitter : @etienne_cdl
Mon mail :
Gérard Dray : Projet pédagogique et conception de sites web dynamiques
Gérard Dray enseigne notamment la conception de sites Web dynamiques
« Une formation aux double compétences pour des professionnels aux interfaces des technologies et de la communication », Gérard Dray, professeur de conception de sites Web Dynamiques et amoureux de Joomla.
Titre : Enseignant Chercheur Ecole des Mines d’Alès
Matière enseignée : Projet pédagogique et Conception de sites web dynamiques
Parcours : Enseignant chercheur depuis 1993. Docteur de l’Université Montpellier II en Génie Informatique, Automatique et Traitement du Signal. Ses thèmes de recherche : l’analyse des données (data mining), des textes (text mining) et des opinions (sentiments analysis). Les principaux domaines d’application de ses travaux sont l’analyse des donnés biomédicales et le web sémantique.
Mail :
twitter : @GerardDray
Pour en savoir plus : www.lgi2p.mines-ales.fr/~dray
Françoise Armand : Outils et stratégie de recherche documentaire
Titre : Responsable du Centre de Documentation de l’Ecole des Mines d’Alès
Matière enseignée : Outils et stratégies de recherche documentaire. Préparation à la rédaction du mémoire de recherche, organisation et évaluation des ressources documentaires.
« Après une maîtrise de cinéma, et une thèse de psychologie expérimentale sur la perception auditive chez le nourrisson à l’université Paris V, j’ai travaillé à l’IRCAM au sein du service de Recherche Musicale. En 1988, le directeur de l’EERIE, école d’ingénieurs à Nîmes, me propose de mettre en place puis de diriger le centre de documentation d’une école d’ingénieurs. Ce qui m’a conduit à intégrer l’Ecole des Mines d’Alès, au poste de chef de service du centre de documentation. »
Site professionnel : Portail documentaire de l’Ecole des Mines d’Alès
Participation à des projets collaboratifs numériques :
Bibliothèque Ouverte Montpellier Languedoc-RoussillonPortail des Revues de Nîmes,
Catalogue commun des Ecoles des Mines
Publications :
A la recherche d’un dispositif pour faciliter le partage d’informations scientifiques : une esquisse, Françoise Armand et Pierre-Michel Riccio, Colloque MTO 2011, Presses des Ecoles des Mines, mars 2011.
Développer de nouveaux services et prestations en fonction de l’évolution des demandes de nos usagers, Françoise Armand, Documentaliste Sciences de l’Information, ADBS, 2009.
Twitter: @francoisearmand
Pierre-Michel Riccio : Conduite de projet multimédia
Pierre-Michel Riccio Enseignant chercheur de l'Ema enseigne la conduite de projets aux élèves du Master CTN
« D’un côté une super équipe pédagogique composée de professeurs du Celsa et de l’école des Mines Alès ainsi que des professionnels compétents et reconnus. De l’autre côté ; des étudiants motivés (le concours d’entrée n’est pas facile) qui viennent de différentes universités et entreprises. Tous travaillent ensemble pendant une année dans une excellente ambiance. A la fin les étudiants ne veulent plus partir, alors que les entreprises leurs proposent des contrats intéressants, mais il faut bien faire un peu de place pour la prochaine promotion … », PIerre-Michel Riccio.
Titre : Enseignant-chercheur et responsable opérationnel du centre de recherche LGI2P de l’école des mines d’Alès (Ema)
Matière enseignée : Conduite de projet multimédia
« Je suis ingénieur du Conservatoire national des Arts & Métiers, diplômé en management et docteur en sciences de l’information et de la communication de l’université de Montpellier, habilité à diriger des recherches à l’université d’Aix-Marseille. Après dix années en entreprises puis vingt années en laboratoires, je suis aujourd’hui enseignant-chercheur et responsable opérationnel du centre de recherche LGI2P de l’Ecole des mines d’Alès à Nîmes. »
Publications : “TIC et innovation organisationnelle, Journées d’étude Management des Technologies Organisationnelles” de Pierre-Michel Riccio et Daniel Bonnet (décembre 2011)
Liste des livres publiés :
Yvan Douenel, formateur en HTML et CSS
Yvan Douenel a appris aux communicants leurs premières lignes de codes
Titre : Formateur en html et Css, en ergonomie web en accessibilité et en analyses statistiques
Parcours : Chef de projet et intégrateur depuis 11 ans
Site professionnel : www.expert-web.org
Alban Martin, professeur de Stratégies de communication innovantes
Alban Martin, professeur de marketing viral au Celsa et Social media manager chez Orange. Il nous a permis de comprendre le marketing viral, de saisir l'influence du Net, de saisir les tenants et aboutissant du buzz.
Matière enseignée : Stratégies de communication innovantes
Titre du cours : Communautés en ligne et bouche à oreilles
Parcours : « Après le conseil en stratégie et la banque d’affaire, j’ai décidé de me tourner vers l’innovation en rejoignant une start’up puis le groupe Orange. J’ai rejoins Orange en 2004. J’étais en charge du marketing sur la zone Afrique et Moyen-Orient. En 2006,j’ai rejoins les équipes de recherche et développement en 2006 pour inventer de nouveaux services communautaires. Depuis 2008, j’occupe le poste de Directeur des medias sociaux au marketing groupe (pour la France et l’international). »
Site professionnel : www.orange.com
Sites personnels : http://cocreation.blogs.com et http://fr.linkedin.com/in/albanmartin75
Le master en communication et technologie numérique expliqué par les étudiants
Le Master commun au Celsa et à l’Ema rassemble des étudiants en formation initiale et continue. Nous avons interviewé les étudiants de notre promotion et d’anciens élèves afin qu’ils vous le présentent.
« C’est en revenant au travail, que je me suis rendue compte de la quantité d’informations que j’avais engrangée durant ce Master, et à quel point elles étaient utiles », affirme Véronique Gachet, 45 ans, aujourd’hui responsable communication de l’international office du CEA Saclay.
Anne-sophie Diverrès
Le Master 2 pro en Communication et Technologie Numérique, appelé « Master CTN » par les étudiants et les professeurs, a été conçu par le Celsa et l’Ecole des Mines d’Alès en 2008. Il propose aux étudiants de Master 1 ainsi qu’aux salariés souhaitant reprendre leurs études une formation axée sur la communication numérique et ses technologies. Fatima Aouidat, fait partie de la 4eme promotion de ce Master (2011-2012). Si elle a choisi cette formation, c’est parce qu’elle souhaitait bénéficier de l’expertise du Celsa. « A Science Po Rennes, 10 étudiants font le Celsa chaque année. Leurs retours sont positifs à la fois sur la qualité de la formation et les débouchés. J’ai choisi ce master après avoir contacté Céline Mazars, une ancienne élève de Science-Po et du CTN. A Science-Po on ne se spécialise pas assez ; aussi posséder la spécialité d’une école d’ingénieur était un plus pour moi ». Gaëlle Piquard, 22 ans, fait partie elle aussi de la promotion 2011-2012. Après avoir étudié la communication en alternance jusqu’en Master 1, elle a choisi le CTN pour son double axe d’apprentissage. Et puis elle l’a appris au cours de son expérience professionnelle : « la maîtrise de la communication digitale est la tendance du moment ».
Des professionnels et des enseignants pour des cours de haut niveau
Parmi les nombreux cours de 4 heures, on peut citer : les stratégies de communication numérique (lien page dédiée), le marketing viral, la sémiologie, le référencement. l’apprentissage des langages HTML, CSS et PHP, etc. Et puis, de nombreux cours pratiques sont dispensés comme répondre à un appel d’offres, organiser de projet d’agence, la mise en place d’une stratégie de contenu en utilisant l’expérience utilisateur (UX). « J’apprends ici à mener une stratégie de communication numérique globale. Pour cela, je suis initiée notamment aux différents langages informatiques et aux métiers du Web. De quoi me permettre de piloter des professionnels lors d’un projet Web, devenir consultante en stratégie de contenu ou encore community manager », explique Valérie Sida, 35 ans, journaliste en reconversion.
Pour dispenser toutes ces matières, l’équipe pédagogique est composée des enseignants des deux écoles et de professionnels. « C’était toujours d’un niveau impeccable. Surtout les intervenants professionnels », raconte Sophie Nguyen, consultante à l’agence de promotion des responsabilités sociales et environnementales Utopies (3e promotion). Des interventions de professionnels appréciés par l’ensemble des étudiants qui estiment qu’ils sont une forte valeur ajoutée. « Ils nous donnent une vraie visibilité sur les métiers de la communication. C’est du concret et j’en avais besoin après des années de cours théoriques », poursuit Fatima Aouidat.
Des promotions regroupant des étudiants dont les âges varient entre 20 et 50 ans, une autre force de ce Master. « Les étudiants de formation initiale portent un regard frais et aiguisé sur des problématiques stratégiques ou opérationnelles, tandis que ceux de formation continue partagent volontiers leurs expertises. Ce maillage des compétences dynamise véritablement le groupe et stimule les apprentissages », raconte Guillaume Rouan, 34 ans, ancien professeur en reconversion.
" Ce Master n’est pas particulièrement difficile si l’on parvient à gérer les projets en même temps que les 8 heures de cours par jour... Le tout concentré sur 6 mois ! ", raconte avec humour Guillaume Rouan, promotion 2012.
Un travail à fournir en continu
Un master qui demande investissement et travail. En plus des cours à temps plein, il faut travailler le soir pour se mettre à niveau dans les matières difficiles qui demandent un peu de pratique comme le HTML (quand on n’en a jamais fait, par exemple). Anne-Sophie Diverrès, 37 ans, en formation continue cette année, confie : « Du fait de l’organisation compacte des cours, nous avons peu d’espace disponible pour l’appropriation personnelle de certain outils ou d’enseignements ». Il faut donc s’adapter et travailler chez soi le soir. « Ce master n’est pas particulièrement difficile si l’on parvient à gérer la multiplicité des projets en même temps que la diversité des cours… Le tout concentré sur six mois ! », Explique, non sans ironie, Guillaume. Car aux cours à suivre s’ajoutent des projets pédagogiques et le mémoire personnel de 90 pages pour lequel il faut lire des livres, interviewer des experts et laisser mûrir sa réflexion. « Si j’avais eu tous mes amis à portée de main, je n’aurais jamais pu travailler ! », confie Sophie Nguyen. Une charge de travail qui semble cependant plus légère aux formations initiales qui ont toujours la tête dans les études. « C’est une dose de travail normal pour un Master. On doit travailler de manière diffuse, sans réelles périodes creuses », conclut Fatima Aouidat.
Fatima Aouidat : « Notre Master est très bien accueilli auprès des professionnels »
Fatima Aouidat, à Sciences-Po Rennes, a testé le journalisme avant de se rabattre sur la section économie et finance. En 2012, elle chauffait les bancs de Nîmes accompagnée d’un thermos de café à la cannelle. Elle nous raconte le master CTN.
Fatima Aouidat
Quel est ton parcours ?
J’ai fait Sciences-Po après le bac. Après une année généraliste j’ai effectué une année dans la spécialisation Politique et société ( POso) axée sur les métiers de la culture, le journalisme. Puis je suis passée dans la section économie et finance axée sur l’entreprise (EcoFi).
Pourquoi avoir choisi le Master CTN ?
J’ai choisi le master CTN parce qu’il proposait tout ce qui m’intéressait de faire. J’aimerais devenir consultante en e-réputation et en communication digitale. J’ai choisi le Celsa pour sa notoriété dans le monde de la communication. A science-Po Rennes, 10 personnes vont au Celsa par promotion. Nous profitons de leur retour. Ils sont très bon quant à la qualité de la formation du Celsa et les débouchés possibles. En plus par conviction personnelle, je souhaitais intégrer du public. Donc je me suis dit que j’allais faire un Master du Celsa. J’ai choisi le CTN après avoir contacté Céline Mazars, une ancienne de Science-Po Rennes qui avait fait le CTN. Le grand problème de Science-Po c’est qu’on ne se spécialise pas assez. Aussi avoir « une spécialité » d’une école d’ingénieur était un plus pour moi. Autre avantage de ce Master. Il n’était pas à Paris ce qui pour des raisons financières était important pour moi.
Le concours fut-il difficile ?
Le concours fut assez simple pour moi parce que je faisais un mémoire avec des lectures proches. Ce qui m’a gêné le plus est le format du concours. Je n’ai pas l’habitude de partir de 40 documents pour répondre à une question. J’avais l’habitude de partir seulement de la question. En revanche on m’a appris à avoir l’esprit synthétique et le sujet fut très facile d’approche pour moi.
Qu’apprécies-tu dans cette formation ?
Les intervenants professionnels spécialisés en communication sont très intéressants. Ils donnent une vraie visibilité sur les métiers de la communication. Cela donne du concret et en ce qui me concerne, ça me fait du bien.
Que penses-tu du mélange entre formation continue et initiale ?
Je pense que la mixité est très intéressante parce que nos différents profils font que l’on apporte des visions et des approches de travail très différentes.
Quelle est la charge de travail de ce master ?
Un niveau de travail normal pour un Master 2, je pense. On doit travailler en conséquence, de manière diffuse, sans réelles périodes creuses.
Quelles sont les qualités nécessaires pour réussir ce master ?
Une grande capacité d’adaptation et de réflexion ainsi que de la flexibilité au sens anglo-saxon. Il faut être capable de repartir du bon pied après un retour difficile sur son travail sans être déstabilisé par ces aléas.
As-tu testé ce master auprès des professionnels ?
Notre Master est très bien accueilli. Les entretiens se passent hyper bien.
Christophe Monteil-Lucien, journaliste à France Télévisions :
« Se former ou intégrer le bataillon des rois du minitel »
Christophe Montheil, journaliste à France Télévision, adepte des courses d'orientation et... des nouvelles technologies !
Il a traversé les terres et les mers pour « Des racines et des ailes » notamment. Journaliste à France Télévision, Christophe Monteil, en formation continue nous raconte son Master CTN. Pourquoi, comment, ses points forts et ses faiblesses. Entretien.
Quel est ton parcours ?
Diplômé de l’Ecole Supérieure de Journalisme (ESJ) de Paris , en 1988 !!!
Pourquoi avoir choisi cette formation ?
Je suis journaliste à la rédaction nationale de France Télévisions et depuis quelques années j’avais l’impression d’être sur le mauvais média, sur une voie de garage, avec un terminus à moyen terme. L’avenir passe par ces nouvelles technologies dans les médias. A 45 ans, c’était le moment où jamais pour se former, sinon, j’intégrais le bataillon des «rois du minitel» et je terminais dans un placard.
Qu’est-ce qui t’a plu dans le cursus proposé ?
Ce qui est génial c’est ce rafraichissement des neurones. Tu arrives en croyant que tu as un métier intellectuel, que tu es plutôt au top dans ta vie pro, et d’un coup tout est remis en cause, tu n’as pas tant de connaissances que ça, ou en tout cas pas dans les domaines enseignés. Pour combler ce vide, tu dois te mettre à travailler. Sérieusement. Là, tu mets du dégrippant et tu relances la machine. C’est violent, mais ensuite, tu as vraiment la sensation d’avoir franchi un cap, d’avoir emmagasiné une somme de connaissances essentielles pour ton futur professionnel. Qu’avec de la veille ensuite, tu resteras en phase avec ton époque et ces nouvelles générations nées avec un clavier entre les mains.
Savais-tu quel métier tu souhaitais préparer ?
Non, même si j’avais quelques idées, notamment dans le domaine des webdocs et des nouvelles écritures journalistiques (ce qui sera mon thème de mémoire). Hors de question aussi de remonter travailler à Paris. Finalement, durant l’année, France Télévisions a crée de nouveaux métiers de « pilotes web », des rédacteurs en chef adjoints en charge des plateformes numériques régionales et ultramarines. Je vais donc devenir le pilote web de France 3, à Marseille.
Quel fut le plus dur pour toi dans ce master et… le plus facile ?
Ce master, au début, c’est une grande claque en pleine face. Le plus dur est d’arriver au milieu de tous ces petits jeunes qui pensent très fort que passé 40 ans, tu ne dépasseras jamais le stade du minitel. En gros tu ne comprends rien. Tu es fossilisé et ils sont même étonnés que la pierre parle…
De ton côté, tu arrives avec 20 ans de savoir et de connaissances accumulées qui ne te servent à rien ou quasiment. Dont tout le monde se fout. Tu dois tout recommencer à zéro. Accepter d’être novice dans chaque matière. Devenir humble et accepter que le gamin (la gamine plutôt) va tout t’expliquer. En te prenant un peu pour un demeuré quand même ! Bref une immense remise en cause personnelle. Un véritable défi scolaire et humain à accepter, surmonter, dépasser. A apprécier finalement. Surtout. Cette année scolaire parmi cette nouvelle génération est un bain de jouvence intellectuel. Un grand moment de bonheur où l’on évolue dans une ambiance positive, parmi des gens qui vont chercher leur futur, plutôt que pleurer sur leur sort en ne bougeant pas le petit doigt pour changer quoi que ce soit.
Est-ce, en général, un master que tu qualifierais de difficile ?
C’est un master difficile, exigeant, où l’on sent une certaine pression. Ça n’est pas la fac, avec quelques heures de cours, beaucoup de pauses café et des tonnes de glande. Le premier trimestre notamment est très difficile. Tu travailles sans cesse, le soir, le week-end, pendant les vacances.
Comment trouves-tu les professeurs ? L’enseignement est-il de qualité ?
Les profs sont bons et on sent la structure des grandes écoles. Tu n’es pas livré à toi même. On te donne les moyens et l’encadrement qui vont te permettre de travailler dans les meilleures conditions.
Penses-tu que le mélange formation initiale et formation continue est un atout ?
C’est génial de très enrichissant de côtoyer une autre génération, de les voir fonctionner (c’est la génération « partition de cerveau », capable de suivre un cours et prendre des notes, tout en brassant du vent sur Facebook, twitter ou n’importe où sur le web).
Du côté des FI, je pense que c’est aussi intéressant pour eux d’avoir des FC. Pas sur qu’ils le ressentent comme ça au début car ils sont dans leur élément (le web et les nouvelles technos en général), destinés à de nouveaux métiers, donc les anciennes générations, c’est le monde du fax et de la télé en noir et blanc… Donc… Mais au fil de l’année, des relations se nouent, on fait des travaux de groupes où les FC apportent une expérience pro, des compétences. Au final, FI et FC se mélangent, travaillent et vivent ensemble pendant 6 mois très intenses, pour ne former qu’une promo unie… et isolée dans cette belle ville de Nimes !
Penses-tu que ce Master va te permettre de trouver un emploi ?
Clairement oui, puisque j’évolue au sein de France Télévisions. Surtout, on sent la demande au sein des médias. J’ai facilement trouvé un nouveau poste.
Ce master m’a apporté des connaissances que peu de journalistes de ma génération possèdent. La majeure partie de ces journalistes ne s’est même pas rendue compte que le monde des médias évolue à vitesse supersonique. Et qu’ils sont toujours en troisième dans leur Clio. De grands groupes de médias, comme France Télévisions, manquent vraiment de personnes ayant de l’expérience journalistique et des connaissances approfondies dans le domaine des nouvelles technos.